| | | Du golf? Tu parles d'un sport ! [PV Kate] |  |
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George T. Clooney
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| | Sujet: Du golf? Tu parles d'un sport ! [PV Kate] Sam 11 Mai - 18:47 | |
| Ce jour-là n’avait rien d’extraordinaire. Mais il n’était pas ordinaire pour autant, non plus. Depuis qu’il avait rompu avec Stacy, George n’avait plus vraiment pris l’occasion de sortir comme il le faisait sans cesse il y a de cela quelques semaines à peine.
Cette rupture, dans la vie d’un quinquagénaire qui semblait destiné à être un éternel célibataire, cela changeait bien des choses. À commencer par Clooney lui-même. Moins irresponsable, plus modéré dans pas mal de choses, moins de débauches, plus posé et réfléchi… mais il n’avait pas pour autant diminué sa soif de sexe, cette insatiable quête de la féminité… L’acteur continuait à fréquenter quelques jeunes femmes simultanément, juste pour l’aspect charnel. Avec les jeunes coquines, il n’y avait aucun souci à se faire, ils étaient sur la même longueur d’ondes : tout était très clair, ils se voyaient pour coucher ensemble, ça s’arrêtait là, même si, faut-il le dire, l’homme appréciait énormément ces moments-là avec elle. Il y avait aussi des collègues, jeunes ou moins jeunes, toujours très prometteuses…
De toute manière, ce n’était plus la peine d’espérer un quelconque retour de l’ancienne catcheuse. Elle était tout à fait sortie de sa vie, c’était son choix à lui, en fait, et il l’avait quittée parce qu’il respectait le fait qu’elle puisse vouloir un mariage et des gosses… et il était sans nul doute impossible qu’elle réapparaisse comme elle l’avait fait une fois. Ce jour-là, Clooney ne s’était pas du tout montré à son avantage, il avait bu comme un trou, parce que la revoir l’avait profondément bouleversé et déstabilisé… Un retour ingérable qui s’était soldé par un échec relationnel. Soit. Il ne servait plus à rien d’y penser.
Les autres femmes, les autres filles, ce n’était pas la même chose. Julia Roberts, par exemple, était une amie et, même si une certaine distance s’était instaurée depuis qu’ils s’étaient connus au sens biblique du terme, George ne la classait pas dans la même catégorie que les précédentes. Même chose pour Meryl Streep, ils avaient beau se tourner autour et multiplier les allusions sensuelles, c’était surtout le fait de s’entendre à merveille sur les plans culturels et intellectuels qui retenait l’attention de l’homme.
Mais tout cela n’était pas au programme aujourd’hui. C’était ce qui rendait cette journée peu ordinaire. Et ce qui ne la rendait pas extraordinaire pour autant, eh bien, c’était le fait que George allait aujourd’hui goûter aux joies du golf. Il cherchait un sport à pratiquer régulièrement, un truc qui pourrait lui servir d’excuse pour sortir en confiant son animal de compagnie aux bons soins de l’une ou l’autre personne de confiance. Et pour que l’excuse soit valable, il fallait au moins s’intéresser un minimum au sport en question.
Vêtu d’un jean et d’un tee-shirt, Clooney se vit interdire l’entrée du club de golf, pour commencer. Le polo était de rigueur et le jean interdit. Shit. Il n’en portait jamais… mais heureusement, si l’on pouvait dire, « le club possède son propre magasin, monsieur » comme indiqua le jeune homme de l’entrée à l’acteur.
Après un soupir grognon, George alla donc dans ce magasin où il trouva un polo noir et un pantalon de coton, dans les tons beiges. Bon, ça ferait l’affaire. Bien entendu, l’homme paya un maximum pour ces vêtements qu’il n’allait sans doute jamais remettre par la suite : dans ces clubs à la con pour les gens bourrés aux as, les prix étaient évidemment plus élevés que n’importe où ailleurs. Même si le logo du club n’était même pas brodé sur le polo.
Ce n’était pas son truc. Clooney le sut dès qu’il eut revêtu cette tenue de golfeur. Encore heureux qu’on ne l’avait pas forcé à changer de chaussures en plus, parce que sinon, il ne se serait vraiment pas senti à l’aise du tout. Au moins, là, il avait encore SON caleçon, SES chaussettes et SES chaussures. Ses lunettes de soleil, aussi, vissées sur le crâne pour garder au moins l’impression de ne pas être tout à fait transformé par les manières gnan-gnan de cet endroit.
L’homme dut encore louer des balles et des clubs de golf, parce qu’il n’avait bien sûr pas de matériel à lui et que ce n’était pas comme dans un bowling où on vous fournissait les godasses à semelles lisses tout naturellement.
Pour faire passer la facture et calmer un peu son corps rendu nerveux par tous ces contretemps et ces aléas, le quinquagénaire alla se prendre un whisky double, qu’il but lentement en regardant par la fenêtre. Au moins, il faisait beau et ces grandes étendues de gazon coupé de manière uniforme avaient quelque chose d’agréable pour l’œil. Avalant le reste de son verre, l’homme reposa le récipient vide sur le comptoir et se décida à sortir.
Il passa près de quelques joueurs qui devaient sans doute être des professionnels. Ils avaient une attitude posée, ils avaient l’air de savoir comment s’y prendre, comment viser et comment taper. Les observer, ça donna l’impression à Clooney que c’était un sport facile et classe, où on ne transpirait pas comme un bœuf.
L’homme cherchait les pistes pour les débutants. Enfin, il ne savait même pas si on parlait effectivement de « pistes » ou s’il fallait employer un autre terme. Tant pis.
On finit par lui indiquer des trous faciles. Plus loin.
L’homme se dirigea par là, après avoir effectué un geste de remerciement, et il arriva près d’une piste où se trouvait déjà une jeune femme. L’homme la regarda poser sa balle, puis se placer sur le côté, pour placer le club de golf près de l’objet sphérique, prendre de l’élan en un geste large puis frapper juste au-dessus de la balle. Les bras croisés, il regarda la jeune fille quelques instants, puis il s’approcha un peu. Ils étaient au moins deux ici à ne pas avoir l’habitude de ce sport.
"Je vois que je ne suis pas le seul à ne pas avoir saisi toutes les finesses de l’art du golf…" Il s’était avancé vers elle avec le sourire. "Mais vous au moins vous n’avez pas été obligée d’aller acheter des vêtements au magasin du club !"
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| | | | Kate Beckinsale
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| | Sujet: Re: Du golf? Tu parles d'un sport ! [PV Kate] Dim 19 Mai - 13:18 | |
| Le golf. Pour Kate, ce sport était un peu comme une légende sans vraiment en être une puisque Kate, savait que ce sport existait. Disons plutôt que c’était le genre de sport qu’elle n’avait jamais vu de sa vie et qu’elle n’avait jamais eu envie d’essayer non plus. Et puis, pourquoi pratiquerait elle le golf ?
« Aller, Kate tu va adorer ! En plus, il faut vraiment que je te présente Jeff le canon qui me donne des leçons ! »
Lui répétait sans cesse Jessica, dans l’espoir de la faire venir avec elle. Jessica était une vraie pile électrique. Toujours de bonne humeur, elle était riche et surtout elle aimait profiter de la vie, tenter de nouvelle expérience. Mais le pire devait être toutes ses lubies concernant le sport. Son besoin de changer constamment d’activité était épuisant. Très souvent, elle avait essayé de traîner Kate avec elle et de lui faire faire du tire à l’arc, des art martiaux, du yoga, de la natation… Elle avait même parlé de foot une fois. Comme si Kate avait une tête à porter un short, des baskets à crampon et à courir après un ballon ! Au lieu de ça, l’actrice c’était contenté de la soutenir des gradins. D’ailleurs ce jour la, elle était tombée sur l’homme devant elle et heureusement pour Kate, son charme faisait des ravages. Un sourire, un autographe et tout était oublié.
Une bonne chose n’est ce pas ?
Seulement, si le charme de la jeune femme agissait magnifiquement bien sur la gente masculine, ce n’était pas pareil avec les femmes et puis, il est impossible de dire non indéfiniment à Jessica, celle-ci savait se montrer persuasive quand il le fallait.
Enfin, il y à ça et le fait que le matin même très tôt, la jeune femme d’une trentaine d’année c’était pointée chez elle avec sa tenue de golf dans une main, et des chaussures de sport dans l’autre.
La c’était sûr, Kate irait au golf de grès ou de force, Jessica y veillerait. C’était peu réjouissante, vous imaginez la chose vous ? Kate jouer au golf ça, c'est un scoop. Un scoop qu’elle aurait bien voulut manquer elle aussi.
Quelques heures et protestations plus tard, Jessica et Kate se tenaient debout devant la façade du fameux club. Habillée des vêtements que Jessica lui avait apportés, l’actrice n’affichait aucun sourire sur ses lèvres à ne pas en douter. Son amie lui pris le bras et se mit à courir pour atteindre l’entrée plus vite. Derrière une Kate ayant quelques traits de ressemblance non négligeable avec une poupée de chiffon traînée par terre. L’arrêt de Jessica fut si brusque que Kate faillit partir en avant, mais elle se rattrapa de justesse et se plaça à côté de son amie. Un sourire purement colgate Kate, remarqua que le jeune homme lui jetait très souvent des regards furtifs. Que ce passait il ? Avait elle des feuilles dans les cheveux ? Pourtant, elle n’était pas tombée par terre aujourd’hui, alors quoi ? Elle ne pouvait pas non plus avoir de persil entre les dents, ni de maquillage raté puisqu’elle c’était contenté de mettre une peu de fond de teint crème et peu de mascara aussi.
Tenu réglementaire : Ok. Affaire pour jouer : A acheter sur place. Enfin, Kate et Jessica était rentrée, mais pas sans un signe de bienvenue de la part de jeune homme qui en profita pour frôler les fesses de la jeune femme lorsque celle-ci passa devant lui pour rejoindre Jessica déjà bien loin devant.
Celle-ci s’arrêta net de stupeur. Elle hésitait entre l’envie de lui donner une gifle car après tout, elle avait du s’entraîner durement pour jouer des rôles très physique et laisser faire pour cette fois. Le choix était dur, néanmoins elle songea que la seconde solution serait meilleure. On ne frappe pas les employés Kate, même si ils sont complètement idiots…
Kate était quelqu’un d’agréable oui, mais elle avait du caractère aussi. Son métier d’actrice lui interdisait de faire trop de vague ce qui l’avait forcé à prendre sur elle-même très souvent, mais cela ne voulait pas dire que Kate était gentille au point de se laisser marcher sur les pieds sans réagir et la en l’occurrence, ce faire toucher les fesses sans réagir. Sauf que cette fois si, c’était probablement ce qui se passerait malheureusement, un scandale n’était jamais bon et un rien pouvait exciter les médias.
Saloperie !
Pourquoi est-ce que j’ai accepté d’être traînée ici déjà ?
Tout c’était déroulé affreusement vite pour la jeune femme. Jessica lui avait présenté machin. Mince, comment s’appelait-il déjà ? A oui, Jeff. Ensuite, les deux jeunes femmes avaient suivis le jeune (sans doute aussi jeune que le gars à l’entrée) sur les différents terrains, puis il avait commencé à leur donner des « cours » très souvent en se collant à elles pour leur montrer comment faire les bons gestes.
Kate était une bonne élève, enfin c’est ce qu’elle pensait jusqu’au moment ou elle envoya avec toute sa force la petite balle dans le visage… de Jeff.
Comment elle avait réussit son coup ? C’était un mystère, mais voilà qu’a présent l’actrice se retrouvait seule, à essayer une nouvelle fois de taper dans la balle, mais même après des dizaines d’essais elle n’arrivait à rien.
« Je vois que je ne suis pas le seul à ne pas avoir saisi toutes les finesses de l’art du golf… Mais vous au moins vous n’avez pas été obligée d’aller acheter des vêtements au magasin du club ! »
– Sans doute, dis-je en me retournant souriante. Mais vous au moins, vous n’avez sans doute pas blessé un employé du club.
La jeune femme tendit sa main libre et reprit :
– Kate Beckinsale, enchantée de faire vôtre connaissance. | |
| | | | George T. Clooney
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| | Sujet: Re: Du golf? Tu parles d'un sport ! [PV Kate] Lun 20 Mai - 17:11 | |
| Le golf… ça venait d’où cette invention idiote, franchement ? Le base-ball, George connaissait et appréciait assez, le rugby aussi… mais le golf. Un sport pour les vieux riches, pour les gens ayant un balai dans le cul et qui ne veulent pas transpirer. Bref, un sport qui n’avait de sportif que le nom et qui était aussi amusant qu’une partie de strip-poker contre un ordinateur.
La jeune fille qui jouait devant lui avait essayé à plusieurs reprises de frapper la balle, mais visiblement, elle était aussi douée que lui. Sur le coup, l’homme songea que s’il avait été capable de jouer au golf, il aurait pu venir se placer derrière elle, poser les mains sur son bras pour le guider, puis lui montrer le mouvement à suivre au niveau des hanches… mais s’il était tout à fait capable de poser ses mains partout et de guider certains mouvements, ça n’était pas vraiment ceux du golf.
Mr Clooney essaya d’imaginer cette jeune femme, enfin, le corps de cette jeune femme, avec une des vêtements comme en portaient les golfeuses professionnelles. Le genre tarte. Mouais. Pas pire que s'imaginer en centaure, au fond.
George appréciait de jouer ainsi avec son imagination. C’était quelque chose qu’il avait appris à utiliser quand il avait à peu près vingt-et-un ans… quand, avec ses cheveux assez longs et son visage maigre, il avait l’air d’un étudiant ou d’un artiste… le genre romantique, avec une grosse écharpe et des yeux d’une couleur si sombre qu’elle s’accrochait au regard des autres, incroyables, et tellement profonds qu’on pouvait voir au travers… vertigineux selon certaines… mais il y avait de la lumière dedans…
Il avait aimé qu’on le décrive ainsi à cette époque. Cela faisait de lui un jeune type un peu à part, un mec pas comme les autres, un gars dans la tête duquel il y avait comme du feu…
"Tout ça a autant d’intérêt que le billard, je pense… bien qu’ici on n’ait pas la bière à proximité directe."
Le billard… ben oui, là aussi il y avait des trous dans lesquels il fallait envoyer les boules, à l’aide d’un objet long et fin, communément appelé « queue ». Et, bon sang, ce jargon avait toujours eu le don de faire sourire George.
La jeune femme lui dit tout de même qu’elle avait blessé un employé de l’endroit. Enfin, non, elle utilisa une tournure de phrase qui faisait plus penser à un sous-entendu qu’à un aveu. Clooney haussa les épaules et il sentit son pantalon descendre un peu.
"Qui vous dit que je n’ai pas tué un nouveau riche pour lui piquer ses vêtements ?"
Elle avait eu de la chance, elle, au fond, de ne pas avoir dû aller s’acheter une petite robe de coton blanc, avec le chapeau qui suivait. George avait sans doute un moins beau sourire qu’elle. Ou alors, le type de l’entrée avait juste un pourboire supplémentaire par tranche de cinquante dollars dépensés dans la boutique du club grâce à lui.
L’acteur tâcha de remonter discrètement le pantalon beige qu’il avait acheté et qui était un peu trop large pour lui. Il en avait eu tellement marre dans la boutique qu’il avait fini par prendre un vêtement au hasard, en vérité. Clooney ignorait si la jeune femme avait ou non remarqué ce détail, mais comme elle venait de se présenter, avec l’air de lui demander qui il était, le quinquagénaire répondit, tout naturellement :
"George Clooney… Le plaisir est partagé !" Il serra la main qui était tendue vers lui et eut l’impression que cette femme avait une poigne digne de celle de John Cena.
"Bon sang ! vous faites de la muscu ou quoi ?" Encore un peu et elle lui aurait broyé les phalanges, c’était certain ! Mais soit, George posa l’extrémité de son club de golf dans l’herbe en voulant avoir l’air détendu.
"Mais vous, alors, vous vous entraînez seule pour un défi qu’on vous a lancé ? ou pour prouver à quelqu’un que vous pouvez vous en sortir même dans des « sports » comme celui-ci ?"
Tout en parlant, il l’observait avec attention. Cette jeune femme avait un regard très particulier. De là où il était, il ne pouvait pas dire si elle avait les yeux bleus ou noisette, mais il pouvait affirmer sans se tromper que ces yeux-là n’étaient pas de ceux que l’on voyait tous les jours. Mieux encore, ces yeux-là faisaient partie des regards qu’on est incapable d’oublier. La forme du visage de la jeune fille était également très intéressante, finement dessinée, sans la moindre imperfection… elle avait sans doute une peau toute douce et un parfum subtil…
La main gauche de l’homme dut à nouveau intervenir pour maintenir le pantalon au niveau de son bassin. Sur le moment, ça ne lui était pas venu à l’idée que ça pouvait être gênant de perdre son froc un peu à la fois.
Même ces godasses qu’il avait aux pieds avaient quelque chose de dérangeant. La semelle, peut-être. C’était difficile de trouver la raison de cela, mais ça lui grattait sous la plante du pied.
Mais passons, ils étaient ici occupés à discuter alors qu’un green était fait pour jouer au golf… George reprit donc correctement son club et se prépara à taper dans la balle blanche qu’il posa sur l’herbe.
Il repéra le petit drapeau indiquant dans quel sens il fallait viser, puis, les pieds un peu écartés pour un souci d’équilibre, l’homme calcula la distance entre la balle et le sol. Les deux mains rivées au manche du club, une fois les mesures prises, Clooney releva le club derrière son épaule, comme les professionnels le faisaient si bien. Les hanches tournaient, le pantalon descendait, laissant apparaître à peu près la moitié du boxer noir que portait l’homme, et quand l’acteur voulut frapper la balle, amorçant une rotation qui faisait prendre de la vitesse au club, il ferma les yeux. Il avait tout calculé, ça devait fonctionner.
Mais cela ne fonctionna pas. Le club de golf frôla la balle, sans doute à quelques millimètres près, tandis que la vitesse donnée au club entraînait George quelques pas plus loin. Shit.
L’homme revint à la balle, les sourcils froncés. Ça ne devait pas être bien compliqué, bon sang, puisque des tas de vieillards réussissaient parfaitement à jouer à ce truc !
"Je devrais commencer avec un ballon de foot. Au moins, je suis sûr de réussir à taper dedans." Il ponctua ses paroles en remontant son pantalon, puis soupira.
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| | | | Kate Beckinsale
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| | Sujet: Re: Du golf? Tu parles d'un sport ! [PV Kate] Sam 25 Mai - 20:03 | |
| « George Clooney… Le plaisir est partagé ! »
George Clooney mais bien sûr ! Elle avait déjà à de nombreuse reprise vu son visage mais la jeune femme avait complètement oublié son nom. George Clooney, mais oui ! Comment avait elle pu oublier ce nom ? Et puis comment ne pas connaître un acteur tel que lui ? Kate n’était pas une fanatique, mais elle appréciait son travail même si elle ne l’avait vu que dans quelques films seulement. Il est vrai, que son jugement ne pouvait pas être une référence d’autant plus qu’un film ou deux ne pouvait pas vraiment décrire le talent ni la carrière d’une personne, cependant elle l’aimait assez dans les films qu’elle avait vu. Sa fille était d’ailleurs folle de lui… Comment oublier un nom alors que des posters de l’homme trônaient un peu partout sur les murs de la chambre de sa fille ?
C’était une bonne question.
Mais le plus amusant encore, était que l’homme de semblait pas savoir qui elle était, elle ! Kate Beckinsale n’était pourtant pas une débutante, elle avait tourné dans de nombreux films ayant cartonnés mais lui ne semblait pas en avoir connaissance. C’était surprenant et amusant à la fois.
Un nouveau sourire se dessina sur les lèvres de Kate lorsque George Clooney reprit la parole :
« Bon sang ! vous faites de la muscu ou quoi ? »
Oui, Kate faisait beaucoup de sport, mais c’était sans doute aux nombreux entraînements avant certains de ses tournages qu’elle devait cette force. Kate subissait à chaque fois des entraînements particulièrement intense. Pour son rôle de Selene, mais aussi pour celui d’Anna Valerious… En faite, tous ses rôles un peu physiques nécessitaient un entraînement draconien c’était normal.
Du coup… Elle était physiquement plus forte qu’à ses débuts. Et puis, il faut bien ce qu’il fallait pour jouer dans des films d’actions hein ?
– Oui et non, répondit la jeune femme, j’ai dus m’entraîner pas mal pour les besoins de mon travail ce qui fait, que j’ai parfois tendance à oublier ma force. Je ne vous ai pas fait mal, rassurez moi ?
Le soleil devenait gênant. Kate mis une main au dessus de ses yeux pour les protéger, mais la chose n’était pas très efficace. Kate regretta aussitôt de ne pas avoir prit la casquette que son amie Jessica lui avait proposée plus tôt sans la matinée.
« Mais vous, alors, vous vous entraînez seule pour un défi qu’on vous a lancé ? ou pour prouver à quelqu’un que vous pouvez vous en sortir même dans des « sports » comme celui-ci ? »
–Oh non rien de tout ça, dit elle après avoir émit un petit rire. Je suis ici parce qu’une amie m’a demandé de venir et comme je viens de vous le dire, j’ai accidentellement frappé un employé. Il se trouve malheureusement que cet employé et le prof particulier de mon amie et potentiellement son petit copain d’après ce que j’ai compris. Elle est partie avec lui et moi je suis restée la, seule.
Si j’arrivais à frapper dans la balle, je pourrais me calmer un peu seulement, je n’y arrive pas. Je vise toujours au dessus ou j’arrache la pelouse au passage et j’avoue que c’est très énervant.
Kate venait à peine de finir de parler lorsqu’elle remarqua que l’acteur remonter son pantalon. Sur le moment elle n’avait pas remarqué la chose mais en effet, le pantalon ne semblait pas être à la bonne taille. Elle eu envie de rire, mais elle se retint. Au lieu de ça avec un sourire compatissent elle lui demanda
– La boutique c’est ça ? A ce que je vois, elle continue de faire des ravages. Jessica mon amie m’a raconté que l’autre jour, un type a perdu son pantalon pendant une partie. Elle n’a pas voulut me donner le nom de cet homme mais c’était un type « méga important » d’après ses dires…
Trêve de bavardage. Mr Clooney tenta à son tour de frapper dans la petite balle de golf qui n’avait pas bougé. Kate c’était poussée pour le laisser tentait sa chance et elle attendit qu’il frappe mais au moment ou il se tourna son pantalon tomba un peu. La jeune femme fut un peu surprise et aurait voulut le prévenir mais elle n’en avait pas besoin, il devait s’en douter. Au lieu de ça, elle se contenta de changer la direction de son regard et attendit
Le club frôla la balle, mais celle-ci n’allât pas très loin, quelques pas tout au plus. Kate du se retenir à nouveau de pouffer de rire, après tout elle-même n’arrivait pas à faire mieux n’est-ce pas ?
Elle reprit un visage sérieux avant que George ne se retourne vers elle.
« Je devrais commencer avec un ballon de foot. Au moins, je suis sûr de réussir à taper dedans. »
– Dans ce cas, nous somme deux à en avoir besoin je crois. Mais j’ai bien peur qu’un ballon de foot ne convienne pas, il sont beaucoup trop lourd. Un ballon de plage sans doute ?
– Je vous conseille de reculer, je ne voudrais pas vous blessez Mr Clooney
Une fois la balle posée, Kate essaya de refaire les gestes que Jeff lui avait montrés avant qu’elle ne le blesse accidentellement. Elle frappa ensuite de nouveau, mais au lieu de toucher la balle, elle arracha un nouveau morceau de pelouse qui partie s’écrasé un peu plus loin. Kate poussa un soupire mêlé d’énervement et de lassitude.
– C’est une conspiration ? Mais comment ais-je fais pour la frapper tout à l’heure ?
C’est vrai, comment avait elle fait un peu plus tôt ? Bien sur, Kate ne se sentait pas bien à ce moment là. Elle était de nouveau célibataire, sa fille avait grandit et commençait à ne plus avoir besoin d’elle, son ex Jared avait de nouveau refait surface dans sa vie et la cerise sur le gâteau, Jessica l’avait complètement mise de côté lorsque Jeff avait fait son apparition. Kate était devenu en l’espace d’une seconde la vieille peau du groupe, la dernière roue du carrosse, elle qui se sentait déjà vieille avant de choisir de reprendre sa vie en main !
D’ailleurs, elle avait peut être réussi à frapper dedans à cause de ça ! Parce qu’elle en avait un peu marre de tenir la chandelle aujourd’hui ? Parce qu’elle en avait marre de tout ça ? Parce qu’elle avait beaucoup de chose à évacuer ? Qu’importe. Kate arriverait à ses faims, elle taperait dans cette fichue balle même si sa doit lui prendre une journée entière !
– Si je tiens celui qui à eu l’idée de cette… Chose ! Siffla t’elle entre ses dents, je lui ferais manger mon club et la pelouse du terrain avec !
Bien que Kate était connu pour être particulièrement chaleureuse et agréable, la jeune femme avait son caractère, et quel caractère ! Kate savait se faire entendre, et de toute les manière que ce soit. En tant que personnage public, Kate se devait d’être un exemple mais parfois, elle avait beaucoup de mal à maîtriser son tempérament de feu.
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